steph7 a écrit: |
c'est vrai qu'il y a qq siècles , la mortalité infantile était telle qu'on ne s'attachait pas aux nouveaux-nés comme maintenant...parce qu'il y avait vraiment un grand risque de mort précoce.. |
Adara a écrit: |
Que ce soit vrai ou pas à l'époque (je considère que ca ne pouvait pas être vrai partout), le guide à vraiment manqué de tact en le disant pour que ta fille soit affecter jusqu'à te le raconter... Les gens ne pense vraiment pas toujours avant de parler... ![]() ![]() |
piouceangel a écrit: |
![]() |
Lila_bis a écrit: | ||
Pour moi, il a à la fois manqué de tact, mais aussi il dit n'importe quoi: c'est un peu comme dire à une femme qui fait une FC "c'est pas grave, c'est la nature, vous en ferez d'autres". Et après, on va parler d'intinct maternel: mais s'il y a réellement un instinct maternel, il n'est apparu qu'au milieu du XXème siècle ? Avant, ça ne faisait rien aux femmes de perdre un enfant ? Ou elles se blindaient en se persuadant que ce n'est pas grave et on fait comme si de rien n'était ? |
virgulle a écrit: |
Ma grand mère a perdu un enfant en 1948, à 9 mois : chaque année ils allaient fleurirent sa tombe le 2 novembre ( sympa pour ma mère dont c'était l'anniversaire ![]() |
virgulle a écrit: |
Ma grand mère a perdu un enfant en 1948, à 9 mois : chaque année ils allaient fleurirent sa tombe le 2 novembre ( sympa pour ma mère dont c'était l'anniversaire ![]() |
flore a écrit: |
Peut être que l'on investissait moins ou moins vite les enfants par crainte de les perdre. Les gens vivaient le plus souvent dans l'Espérance d' une vie éternelle ce qui donnait un sens à la vie puis à la mort mais ça ne supprimait pas le chagrin ![]() |
Marie85 a écrit: | ||
A l'époque, les catholiques croyaient que les enfants n'allaient pas au paradis et n'accédaient pas à la vie éternelle (mais c'est un autre débat). Je pense plutôt que le taux de mortalité infantile était tel qu'on faisait avec, si on peut dire, parce qu'on n'y pouvait rien. Mais je ne sais pas quand ce taux a commencé à baisser significativement. Au cours de mes recherches généalogiques, j'ai constaté que jusqu'à la fin du 19ème siècle, on donnait à un enfant le nom de son aîné mort. Est-ce que cela voulait dire que l'aîné mort ne comptait plus vraiment? Je ne sais pas. |
Marie85 a écrit: | ||
A l'époque, les catholiques croyaient que les enfants n'allaient pas au paradis et n'accédaient pas à la vie éternelle (mais c'est un autre débat). Je pense plutôt que le taux de mortalité infantile était tel qu'on faisait avec, si on peut dire, parce qu'on n'y pouvait rien. Mais je ne sais pas quand ce taux a commencé à baisser significativement. Au cours de mes recherches généalogiques, j'ai constaté que jusqu'à la fin du 19ème siècle, on donnait à un enfant le nom de son aîné mort. Est-ce que cela voulait dire que l'aîné mort ne comptait plus vraiment? Je ne sais pas. |
flore a écrit: | ||||
les Limbes ça n'etait pas l'Enfer tout de même mais juste l'impossibilité de voir Dieu. Tu sais à partir de quand le désir de Baptème des parents a pu se substituer à l'acte lui même ? |
Anne-Sophie a écrit: | ||||
Je pense que la mortalité a réellement baissée avec la découverte de la péniciline. |