Maximômes

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bou - Dim Juin 11, 2017 8:16 pm
Sujet du message: changer de métier
questions à celles qui l'ont fait (hommage à Tulipe, lol!):
comment avez-vous trouvé / choisi le nouveau métier ?
comment avez-vous trouvé les renseignements pour savoir comment vous reconvertir (diplômes, validation des acquis, équivalences, concours ...) ?
ça existe des conseillers d'orientation pour adultes pour se faire aider pour y voir plus clair ?
carpediem27 - Dim Juin 11, 2017 8:21 pm
Sujet du message:
un bilan de compétence ? après tu as des organismes privés j'imagine clin d'oeil
Voilà où j'en suis , c'est grave docteur :


Tout à fait et je ne suis pas sûre d'être dans ce cas même si parfois j'aimerais , bref un pas en avant trois en arrière pff n'importe quoi

Je sais que c'est idiot mais faire un bilan de compétence je le prendrais comme un "jugement" ou alors j'arriverais à me persuader qu'on ne me trouverais peu de compétences pff n'importe quoi

Tout comme je ne me voyais pas faire d'études parce que j'avais l'impression que je n'y arriverais pas ....

D'un côté je sais que ce n'est pas rationnel de raisonner de cette façon et pourtant je le pense quand même.
Faut vraiment que je me soigne pff n'importe quoi

Tulipe je suis persuadée que tu vas "t'éclater" pour les années de travail qu'il te reste grand sourire
Je me demandais pourquoi ce changement si c'était une envie récente ou pas mais j'ai l'explication clin d'oeil et oui toutes tes activités sont liées à ton envie de transmettre aux autres grand sourire


Mais Bou dans ton cas j'ai l'impression que tu aimes ton métier , c'est peut-être un mauvais passage , une simple lassitude ?
adromaca - Dim Juin 11, 2017 8:42 pm
Sujet du message:
comme j'étais au chômage j'ai fait un bilan de compétence mais je savais déjà vers quoi me tourner, le bilan a juste confirmé

mais c'était intéressant à faire

pour la formation j'ai cherchée par moi même et aussi cap emploi et au final je m'étais inscrite à deux endroits et j'ai choisie les cours du soirs non rémunérés sur 2 ans, plutôt que 10 mois de formation à temps plein ... je n'étais pas certaine de tenir le coup du fait de ma santé (sclérose en plaque )

et au final je ne regrette pas, mais je n'ai pas fait de grands changements et j'ai du choisir un métier que je pouvais faire en tenant compte de ma santé ....
je suis passée de l'assurance à assistante comptable ...

et j'ai eu 15 ans au foyer entre les deux ....

je ne regrette rien et j'ai adorée les cours du soir et aussi le stage (qui a fini en embauche en cdi à temps partiel ) ....

faut juste se lancer et parfois c'est pas le plus facile sourit


carpediem27 - Dim Juin 11, 2017 8:51 pm
Sujet du message:
adromaca a écrit:
comme j'étais au chômage j'ai fait un bilan de compétence mais je savais déjà vers quoi me tourner, le bilan a juste confirmé

mais c'était intéressant à faire

pour la formation j'ai cherchée par moi même et aussi cap emploi et au final je m'étais inscrite à deux endroits et j'ai choisie les cours du soirs non rémunérés sur 2 ans, plutôt que 10 mois de formation à temps plein ... je n'étais pas certaine de tenir le coup du fait de ma santé (sclérose en plaque )

et au final je ne regrette pas, mais je n'ai pas fait de grands changements et j'ai du choisir un métier que je pouvais faire en tenant compte de ma santé ....
je suis passée de l'assurance à assistante comptable ...

et j'ai eu 15 ans au foyer entre les deux ....

je ne regrette rien et j'ai adorée les cours du soir et aussi le stage (qui a fini en embauche en cdi à temps partiel ) ....

faut juste se lancer et parfois c'est pas le plus facile sourit



Comme tu dis et je ne sais pas ce qui me retient clin d'oeil

Quel parcours Anne quand même grand sourire Dans les moments où tu va moins bien rappelle toi de ce que tu as accomplis en n'ayant pas une santé au top hourrah
ingrid (le retour...) - Dim Juin 11, 2017 9:10 pm
Sujet du message:
Pas de bilan de compétence, j'ai suivi mes envies et surtout, je me suis débrouillée toute seule pour trouver une formation. Si j'avais attendu Pôle emploi, je pense que je n'aurais pas beaucoup avancé.
bou - Dim Juin 11, 2017 9:24 pm
Sujet du message:
j'aime mon métier mais pas tout et pas dans n'importe quelle condition (... mais pas envie de développer ici). Je m'interroge sur le métier d'Educatrice de Jeunes Enfants.
Le bilan de compétences est payant je crois ? .

L'éducation nationale donne la possibilité de faire un bilan de carrière (1 seul par carrière).
Je me suis renseignée et j'ai eu un rdv préparatoire. Quand j'y suis allée en novembre, j'étais tellement mal que les 2 personnes (1 des ressources humaines, l'autre psy du travail) m'ont expliqué qu'on ne fait pas un bilan de carrière dans cet état, car c'est très introspectif, ça peut être perturbant. Elles m'ont proposé un suivi psy (bon à 1 séance tous les 3 mois, le suivi, je l'ai surtout fait en parallèle en cabinet libéral).
Là, ça va mieux alors l'envie de changer me quitte parfois, puis revient ...
Bref, je revois la psy du travail jeudi, je vais lui dire que je me sens prête pour faire le point sur ma carrière.
MAIS, j'ai l'impression que les conditions du changement sont floues. Qui paye ? Je me vois mal étudiante (sans revenus) pendant 3 ans.
Et je voudrais aussi savoir quels sont les débouchés après.
bref ...

Carpe, si tu ne te sens pas prête, c'est sûrement d'abord psychologique. Tu as l'air d'avoir peur ... et raisonner beaucoup, c'est se protéger. Il faut écouter ses émotions, leur laisser une place, pas forcément chercher à les rationaliser. (j'ai bien tout appris chez ma psy !)
Ça faisait des années que je me disais qu'il fallait que j'aille voir un psy mais finalement je traçais suffisamment bien ma route toute seule (grâce à mon mari aussi) ... jusqu'à cet automne ! et d'un coup, c'est devenu évident et urgent.
(je dis ça mais je ne sais pas pour toi)
carpediem27 - Dim Juin 11, 2017 9:33 pm
Sujet du message:
Tu as raison Bou sur le fait que j'ai peur et je n'ai pas forcément envie de me confronter à çà justement mais peut-être que je devrais en parler .....
Comme toi j'ai tracer ma route et finalement je suis bien à la maison et parfois non et quand je m'interroge sur mes envies éventuelles de travail c'est le néant ou presque.

Tu as fait la démarche parce que tu ne pouvais plus faire autrement il me semble et peut-être que dans mon cas je m'arrange avec mes peurs , mes contradictions etc ....jusqu'à ce que je ne puisse plus donner le change ?
Ou ce jour n'arrivera pas et je resterai toujours le cul entre deux chaises , c'est possible également !
bou - Dim Juin 11, 2017 9:46 pm
Sujet du message:
J'aurais pu faire autrement encore des années au boulot. C'est plutôt d'autres choses qui ont été dur à gérer depuis 2-3 ans et bizarrement, ça s'est focalisé sur le boulot (avec des conditions de rentrée difficiles mais pas insurmontables)...
Enfin je pense que c'est trop tôt pour moi pour démêler le pourquoi du comment c'est arrivé cet automne et pas il y a 2 ans ou jamais ...
Coline - Dim Juin 11, 2017 10:12 pm
Sujet du message:
Je n'ose pas encore intervenir beaucoup sur le forum mais le sujet m'étant familié je me permets de te donner mon témoignage.

J'ai eu mon concours de professeur des écoles dans l'enseignement privé il y a 3 ans, j'ai enseigné pendant 2 ans. Je me suis vite rendue compte que je m'étais trompée de métier. J'aimais énormément le contact avec les enfants mais beaucoup moins toute la partie préparation, recherches, réflexion, construction des apprentissages... Je sais que c'est une partie primordiale du métier, cela m'a donc vraiment posé problème. J'ai pris conscience que je préférais travailler plus d'heures, avoir moins de vacances mais qu'une fois chez moi je n'ai plus de travail à fournir. J'avais l'impression de ne jamais pouvoir décrocher. Je me suis également rendue compte que je préférais travailler avec des plus petits et être dans l'apprentissage de la vie plutôt que dans l'apprentissage des matières scolaires.

En cherchant sur internet et en me rapprochant du CIO de ma ville, j'ai découvert les métiers d'éducateur de jeunes enfants et d’auxiliaires de puériculture, qui correspondaient plus à mes attentes. La durée des études pour EJE étant de 3 ans contre 10 mois pour auxiliaire, je me suis plutôt tournée vers cette formation car je sais qu'il est possible de devenir EJE avec l'expérience. J'ai donc pris une disponibilité pour convenance cette année et j'ai passé le concours que j'ai obtenu.
J'ai prolongé ma disponibilité (en la transformant en rapprochement de conjoint car je me suis mariée) pour l'année prochaine, je n'ai pas de salaire et n'ai droit à aucune aide de l'état pour financer ma formation mais je ne regrette pour rien au monde ma décision !
Un bébé étant en route, cette situation risque de se prolonger encore un an de plus mais je suis sereine dans mon choix. Toute fois la disponibilité fait que je peux retrouver un poste d'instit si besoin !

Je suis désolée pour la longueur du message, ce n'est pas facile de résumer la situation en quelques mots. clin d'oeil
Bon courage en tout cas pour ta réflexion !
Mistral - Dim Juin 11, 2017 10:24 pm
Sujet du message:
Personnellement, je suis très indécise, je ne suis jamais sûre faire les bons choix.

J'aimais mon ancien boulot, mais les conditions se dégradaient. Rien de dramatique, mais je n'y trouvais plus mon compte. De temps en temps, je me disais qu'il faudrait que je change, surtout quand je pensais qu'il me restait 25 ans à bosser !

Donc, ça allait et ça venait, j'y pensais puis je n'y pensais plus. Quand je pensais à quoi faire pour changer, je me posais mille questions :
- faire la même chose ailleurs ? non, autant rester où j'étais, appréciée et payée,
- faire autre chose dans la même branche ? non, pas assez de sens pour moi,
- enseigner dans ma branche ? non, même pas envie,
- enseigner aux adultes ? aux enfants ?
Bref, petit à petit, je me suis aperçue que je revenais toujours aux enfants et à l'enseignement, donc j'ai creusé, farfouillé sur le net. Je me suis vite arrêtée sur prof de maths ou PE. Mais, sans me lancer, sans même penser le faire vraiment.
Puis, un jour, en janvier 2015, c'était clair et net, j'allais le faire, c'était urgent ! Donc, je l'ai fait, sans aucune certitude de ne pas faire une bêtise. Mais finalement ce n'est pas si grave, on peut se tromper...
Je ne pense pas avoir fait d'erreur, même si cette année a été horrible à cause de la fac et des tuteurs, je commence à me régaler en classe ! Et je pense que dans quelques temps, je serai comme un poisson dans l'eau.

Le seul doute qui subsiste, c'est prof de maths... Mais si c'est le cas, ça pourra être le projet pour dans 10 ou 15 ans !

Sinon, il y a une maîtresse de mes filles qui prépare un CAP pâtisserie !

Et comme Tulipe dans d'autres domaines, j'ai enseigné la voile et j'ai fait beaucoup de colos, j'ai été formatrice BAFA, bref, ça me correspond je pense.

Et puis, le changement, c'est de la bonne adrénaline !

Bon courage pour mûrir tout ça. Un bilan de compétences me paraît une excellente idée pour commencer !
tulipe - Lun Juin 12, 2017 6:36 am
Sujet du message:
Je pense sincèrement que pour changer de boulot il faut être au clair dans sa tête et savoir pourquoi on veut changer parce que des difficultés passagères au boulot, on sait tous ce que sait et même si six mois peuvent être difficiles, on se dit que ça ne durera pas ou que ça pourra s'améliorer.

Cela dépend aussi du rapport que l'on a au travail. J'ai toujours dit ici que je travaillais parce qu'il fallait que je gagne de l'argent. Pour moi le travail n'est que le moyen de gagner de l'argent donc autant faire quelque chose dans lequel je me sente bien et surtout je reste très très pragmatique dans le travail.
J'ai quand même l'impression que beaucoup de personnes ont un côté "passionnel" avec le travail. On peut être passionné par son travail ou l'aimer beaucoup tout en sachant rester à distance et ne pas se torturer avec.

Bonne réflexion.
LAB - Lun Juin 12, 2017 6:50 am
Sujet du message:
Pour ma part je n'ai pas changé de boulot, j'ai juste abandonné le domaine de mes études pour m'occuper de petits, ce que je voulais faire depuis longtemps. Je fatigue parfois et songe à lever un peu le pied mais j'aime bcp ce que je fais.

Mon mari a changé de voie après un licenciement à 40 ans, il a abandonné sa carrière scientifique pour passer le concours de prof des écoles. La période de chômage a été l'occasion de le faire. Il est atypique parmi ses collègues mais tout se passe bien avec les enfants et leurs apprentissages. Ca a été un peu rude financièrement, à la fin des indemnités chômage.
adromaca - Lun Juin 12, 2017 6:51 am
Sujet du message:
je suis pareil sourit j'aime mon travail, mais ce n'est pas ma passion

mais j'y suis bien la plupart du temps et je gagne de l'argent et je peux le faire donc ça me convient sourit

ensuite certes ce n'est pas ce que j'aurais voulu faire
mais je n'ai pas souhaité être malade non plus
donc je compose avec

et pour commencer en fait je ne me suis jamais projeté, quand j'ai commencé mes recherches de formation, fait le bilan de compétence c'était surtout pour faire une formation, mais une formation " plaisir" et puis j'ai choisie quelque chose qui soit également fonctionnel
j'ai passée 2 ans impec, je ne pensais pas forcément travailler ensuite, mais juste faire la formation ça me plaisait +++

puis il y a eu la séparation, je passais mes derniers partiels
et j'ai trouvé un stage "par hasard" .... et c'était pas ce que je cherchais tout à fait comme structure mais j'y suis allée ...
et ça m'a convenu et elle m'a embauchée et j'ai dit oui (du fait que j'étais séparée )

mais 1 mois avant je ne savais toujours pas ce que j'allais faire ... mais j'ai pris plaisir à faire chaque étape sourit

et au final sourit j'aime mon boulot, je le fais bien, on est content de moi, je peux le faire compétences, capacités et santé et je gagne un peu d'argent même si c'est pas "assez" (625 euros par mois ) et que ça me fait flipper pour l'avenir quand se sera ma seule ressource ...

mais voilà j'y suis bien
même si parfois c'est dur ... même si parfois je resterais bien au lit (pas bon signe de toute façon vu que je suis aussi en dépression )

ce boulot m'aide aussi à garder un certain cap sourit

bon courage pour vos réflexions, il m'a fallu du temps, il a fallu me lancer et au final .......... impec sourit


adromaca - Lun Juin 12, 2017 7:00 am
Sujet du message:
je précise que j'ai mis de temps

pendant un an je me suis dit, voir 2 ans, faudrait que je fasse quelque chose, pas que du bénévolat, pas gagner des sous mais j'avais envie de faire "autre chose" que d'être au foyer, et un truc de plus "grande envergure"

et comme j'aime bien apprendre j'ai cherchée des formations ...

puis une autre année pour savoir laquelle faire, les conditions, ce qui était possible pour moi de faire, et de m'y inscrire

et enfin 2 ans de cours du soir sourit j'ai choisie ça parce que ça prenait de mon temps avec les enfants sourit grimace et non pendant qu'ils étaient absent au final, je devais faire mes trucs pendant qu'ils étaient pas là et ensuite être avec eux
là c'était l'inverse je partait 1 ou 2 soirs par semaine a 17h quand ils rentrent sourit et je rentrais pour dire bonne nuit sourit j'ai adorée
pas de devoirs, repas, et autres à faire .... j'ai adorée sourit

oui je suis une mère indigne, je précise que pendant mes cours du soirs ma dernière était en 5ème et 4ème et les ainés au lycée sourit donc ...

voilà ça a été assez long quand même sourit

ha et je vais avoir 50 ans à la fin de l'année ........ et a aucun moment je me suis trouvée trop vieille pour me lancer par contre sourit


Mistral - Lun Juin 12, 2017 7:36 am
Sujet du message:
Ah oui, pour moi aussi, un boulot reste un boulot.

C'est le contraire pour moi LAB, cette année un bon tiers des collègues à l'ESPE avait entre 30 et 50 ans, la plupart autour de la quarantaine...
mammig - Lun Juin 12, 2017 10:50 am
Sujet du message:
Je suis un peu comme Carpe. J'ai peur d'affronter la réalité, je ne sais pas si je suis encore capable de me lancer à fond dans un nouveau projet professionnel. Je n'ai aucune compétence particulière. J'ai progressivement laissé tomber tous mes projets un peu intellectuels, par manque de temps, de confiance en moi, de soutien familial et aussi à cause des entourloupes de mon administration en ce sens.

Là, mon mari a changé de voie en conservant son boulot, je prends la même orientation dès ma reprise. Ca lui plaît, j'espère que ça me plaira aussi...

Je l'espère sincèrement car il y a pas mal de choses très positives dans cette profession : c'est un métier fondamentalement utile, nécessaire à la société, fondamental même ; les relations aux élèves sont généralement très riches, c'est sympa de monter des projets avec les gamins, les parents sont souvent partie prenante pour que ça marche bien et le cadre de vie est globalement sympa. Enfin, ça ne me pose pas de distorsion cognitive d'exercer ce métier comme si je bossais la vente d'actions, de pesticides ou un abattoir par exemple. On a toutes nos vacances scolaires, une vraie protection sociale, l'assurance d'un salaire qui tombe tous les mois...
Mais il y a aussi beaucoup de contraintes que j'ai du mal à supporter, comme les relations à la hiérarchie, certains collègues qui peuvent être "nuisibles"(mais ça, ce serait partout pareil et il y en a aussi qui sont très bien !), les programmes qui changent tout le temps (insupportable), la territorialisation qui s'installe subrepticement et permet de fait à des petits cheffetons employés de mairie ou élus de pacotille qui n'y connaissent rien d'imposer leur loi en matière d'éducation et tout cela sans compter au quotidien sur le bruit et la nécessité en classe parfois de faire le gendarme ! Et ces aspects prennent le dessus, quand ils surviennent en même temps ils prennent le dessus... Pour notre part, à mon mari et moi, il fallait trouver une autre orientation !

Si mon nouveau poste ne me plaît pas, là je devrais envisager autre chose... Mais cela impliquera d'autres sacrifices, en temps et aussi en argent...
MARIKA - Lun Juin 12, 2017 12:00 pm
Sujet du message:
Si on a la possibilité d'avoir un bilan de compétences, c'est important de bien choisir la personne qu'on a en face de soi. La personne que j'avais choisi il y a 8 ans pour le mien était bienveillante et positive, elle a été remplacée pour une séance par une personne qui aimait bien casser les gens, soit disant pour leur remettre les pieds sur terre. Le seul point positif avec ce second interlocuteur, c'est qu'il m'a parlé d'une personne qui avait réussi malgré tous les pronostics négatifs. j'ai été amenée à la rencontrer par la suite (par hasard) : une magnifique leçon d'optimisme.

La première chose quand on change de métier, c'est de faire le deuil d'un métier idéal. Mais il y a des sacrifices qu'on est prêts à faire et d'autres pas.
On ne peut le savoir qu'en se connaissant bien soi-même.

J'ai entendu parler de personnes qui pleurent en sortant de leurs sessions de bilan de compétences. Oui, cela remue beaucoup de choses parfois.
LAB - Lun Juin 12, 2017 12:14 pm
Sujet du message:
Mistral a écrit:
Ah oui, pour moi aussi, un boulot reste un boulot.

C'est le contraire pour moi LAB, cette année un bon tiers des collègues à l'ESPE avait entre 30 et 50 ans, la plupart autour de la quarantaine...


Mon mari a lancé la mode clin d'oeil Il était largement le plus âgé et entouré de jeunes femmes....
bou - Lun Juin 12, 2017 7:24 pm
Sujet du message:
merci pour vos réponses .
la psy du travail a dû annuler le rdv de jeudi ...
mammig - Jeu Juin 15, 2017 9:39 am
Sujet du message:
Tu nous tiendras au courant de la suite, Bou ?
bou - Jeu Juin 15, 2017 10:16 am
Sujet du message:
oui, mammig.
Tu es sympa !
tu reprends quand ?
mammig - Jeu Juin 15, 2017 10:55 am
Sujet du message:
Je reprends début juillet (!), c'est administratif... L'intérêt est que j'aurai mon salaire cet été hourrah et que je serai en doublon avec la collègue qui a été dans ma classe toute l'année.
Je suis assez sereine, même si ça risque d'être chaud question organisation, mais on va vers des solutions pour les deux grands qui nous posent pas mal de "soucis" en terme de suivi.
J'avais besoin de changer de cadre, et là, je ressens le besoin de faire autre chose que plier du linge ! Mon bébé est encore quasi exclusivement allaité, mais à part la semaine de juillet, ça me laisse le temps de voir d'ici septembre. Et surtout, ça se passe très bien avec l'ass.mat. (je l'y laisse 3 AM/semaine).
pleine lune - Jeu Juin 15, 2017 12:34 pm
Sujet du message:
Elle a quel âge déjà mammig? Je la voyais encore comme un petit nourrisson!
bou - Jeu Juin 15, 2017 1:12 pm
Sujet du message:
c'est cool Mammig de reprendre dans de bonnes conditions !
mammig - Jeu Juin 15, 2017 9:07 pm
Sujet du message:
Mais c'est un nourrisson, un grand nourrisson ! Elle a 9 mois (déjà triste ). Mais elle est vraiment réjouissante !
Bou, tu as eu une date pour un nouveau rdv ?
bou - Ven Juin 16, 2017 6:46 am
Sujet du message:
impossible de les joindre hier ...
hier j'étais de nouveau bien anxieuse: 2 pas en avant, 3 pas en arrière ... j'avais à nouveau peur de me lancer dans le début d'un questionnement.
En plus, j'ai appris que je n'allais de nouveau pas changer d'échelon alors que selon i-prof, j'étais promouvable en juin !

9 mois, ta puce ! d'ici septembre, elle pourra manger pas mal de chose chez la nounou en journée.
mammig - Ven Juin 16, 2017 8:13 am
Sujet du message:
Ah mince pour le changement d'échelon... Depuis cette année, il n'y a plus de choix ou grand choix : c'est le même rythme pour tout le monde. Mon mari est dans ton cas, ça fait une promesse d'augmentation de plus de 100€ par mois qui est décalée dans le temps triste
J'ai eu de la chance : je suis passée au grand choix il y a un an, avec la dernière cohorte des promus...

Bou, je pense que si tu fais la démarche de demander cet entretien, c'est que tu es déjà dans un questionnement. Ce rdv te permettra de fixer les choses, n'en aies pas peur, il te fera avancer
mimosa - Ven Juin 16, 2017 1:22 pm
Sujet du message:
Pour changer de métier, je me permets d'avoir la tête dans les étoiles... en ayant les deux pieds sur terre...
- Il faut déterminer que c'est une envie, un besoin, et ps un ras-le-bol passager, par ex on est restés 6mois de plus dans sa situation actuelle, l'envie de partir est-elle plus forte, est-on prête à assumer le changement (sur le plan matériel, psychologique) qu'en dit la famille etc...
- savoir ce qu'on veut faire, ne pas faire, ce qu'on sait, ce qu'on veut apprendre etc sauf si on a une passion qui nous guide, un bilan de compétences avec un pro c bien pour défricher (et Carpe, non on ne te juge pas on t'aide à voir clair)
- se dire que tout changement entraînera des pbes, cela ne doit pas être une fuite en idéalisant le nouveau boulot
pour changer de métier, je dirais de rencontrer quelqu'un d'expérimenté dans le domaine qu'on vise pour poser des questions et voir de façon concrète si c bien ce qu'on recherche
-être sûr de son fait parce que changer de vie, ça veut dire déstabiliser, inquiéter etc autour de soi alors faut pas se laisser bouffer par cette ambiance
- se donner une date et des objectifs précis (tel jour je prends RV avec untel, tel autre des infos sur la formation dont j'ai besoin etc) pour que cela ne ressemble pas à la montée de l'himalaya mais à un projet structuré

Dans la mesure où on passe énormément de temps au boulot, je trouve très important d'avoir un métier dans lequel on se sente bien et si ce n'est ps le cas c'est bien d'en changer grand sourire
MARIKA - Sam Juin 17, 2017 11:17 am
Sujet du message:
parfois on n'a pas le choix et les choses se font d'elles-mêmes.
j'ai trop tendance à peser le pour et le contre, alors que lorsqu'on est au pied du mur, on trouve de meilleures solutions.
bien sûr qu'il ne faut pas tout envoyer balader sur un coup de tête, mais parfois ce "coup de folie" est salutaire (pas indolore).
LAB - Dim Juin 18, 2017 7:13 am
Sujet du message:
Je pense aussi que si mon mari n'avait pas été au pied du mur, il n'aurait pas changé de métier et ça n'empêche pas qu'il fait bien ce qu'il fait maintenant.
Alyssia - Jeu Juin 22, 2017 1:00 pm
Sujet du message:
bou a écrit:
questions à celles qui l'ont fait (hommage à Tulipe, lol!):
comment avez-vous trouvé / choisi le nouveau métier ?
comment avez-vous trouvé les renseignements pour savoir comment vous reconvertir (diplômes, validation des acquis, équivalences, concours ...) ?
ça existe des conseillers d'orientation pour adultes pour se faire aider pour y voir plus clair ?


J'avais 34 ans et la certitude que je ne pouvais pas continuer dans la branche dans laquelle j'étais engagée (assistante de direction). A l'époque, le gvt allemand parlait de la retraite à 67 ans...soit pour moi encore 33 ans de travail!

Un jour, je me suis assise, et je suis restée plusieurs heures devant une feuille de papier à écrire ce que j'attendais de mon travail, d'une part, et ce que je ne voulais en aucun cas avoir, d'autre part.

Quelques exemples:

Je voulais:
- pouvoir continuer à m'améliorer dans le métier
- j'étais jalouse de mes collègues scientifiques, il me fallait donc qc dans ce domaine
- travailler en équipe
- que je puisse exercer ce métier quelque soit mon lieu de vie

Je ne voulais pas:
- devoir faire qc contre mes convictions profondes
- ne pas avoir le droit de réfléchir
etc.

Bref, quand j'ai analysé mes souhaits, un certain nombre de métiers me sont venus à l'esprit qui correspondaient à mes souhaits. J'ai tout noté. Ex.
- jardinier dans un cimetière (en Allemagne les cimetières sont boisés)
- architecte
- kiné
- éboueur (matériel ultra-moderne à L., et personnel trèèès bien payé)
etc.

Je ne m'étais mis aucune barrière. Un brain-storming, quoi.

Un jour, étant en vacances, je me suis offert un massage, et j'ai su que c'était le métier de kiné que je voulais exercer.
J'ai demandé à un kiné non loin de chez moi, si je pouvais faire un stage d'observation, après lui avoir expliqué mon souhait de reconversion, histoire d'être sûre de ne pas me tromper. Je l'ai suivi pendant 2 mois, 3-4 h par jour, 2-3 jours par semaine.

Pour le financement, j'ai dû reporter le début de la formation car, finalement, j'ai dû tout financer moi-même.

Net, je gagne 400 Euros de moins par mois que quand j'étais assistante de direction il y a 15 ans. Et pourtant, j'ai vraiment fait le bon choix.
mimosa - Jeu Juin 22, 2017 9:51 pm
Sujet du message:
Alyssia, ta façon de réfléchir est la même que la mienne, et quand on ne se met pas de frein, cela fait apparaître des trucs étonnants, la paie c un élément important mais ce n'est pas le seul en effet, et puis tu gagnes moins maintenant mais tu peux aussi évoluer dans ce nouveau métier et innover et tester le nouveau métier c concret on voit vite si on se sent bien ou pas grand sourire
zzou - Ven Juil 07, 2017 7:36 pm
Sujet du message:
mimosa a écrit:
Dans la mesure où on passe énormément de temps au boulot, je trouve très important d'avoir un métier dans lequel on se sente bien et si ce n'est ps le cas c'est bien d'en changer grand sourire

La citation que je préfère du célèbre discours de Steve Jobs à Stanford:
"Le travail occupe une grande partie de l'existence, et la seule manière d'être pleinement satisfait est d'apprécier ce que l'on fait. Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C'est comme en amour, quand vous aurez trouvé, vous saurez."
Cette citation m'a portée dans mon changement (radical!) de situation.
Aujourd'hui, je suis loin d'avoir retrouvé mon salaire d'antan, mais j'adore ce que je fais, je suis en accord avec moi-même. C'est important pour moi.
bou - Ven Juil 07, 2017 8:06 pm
Sujet du message:
là c'est les vacances, alors le plus beau métier du monde, c'est celui d'instit !
(ok, je sors)
LAB - Sam Juil 08, 2017 6:19 am
Sujet du message:
bou a écrit:
là c'est les vacances, alors le plus beau métier du monde, c'est celui d'instit !
(ok, je sors)


Ou assmat avec seulement des contrats enseignants clin d'oeil
jogadel - Dim Juil 09, 2017 7:22 am
Sujet du message:
LAB a écrit:
bou a écrit:
là c'est les vacances, alors le plus beau métier du monde, c'est celui d'instit !
(ok, je sors)


Ou assmat avec seulement des contrats enseignants clin d'oeil


grand sourire C'est sur que je ne vois pas retravailler avec "seulement" cinq semaines de congés. J'aurai une décision à prendre dans un an, le critère des vacances sera n°1 et le salaire n°2.
LAB - Dim Juil 09, 2017 7:39 am
Sujet du message:
jogadel a écrit:
LAB a écrit:
bou a écrit:
là c'est les vacances, alors le plus beau métier du monde, c'est celui d'instit !
(ok, je sors)


Ou assmat avec seulement des contrats enseignants clin d'oeil


grand sourire C'est sur que je ne vois pas retravailler avec "seulement" cinq semaines de congés. J'aurai une décision à prendre dans un an, le critère des vacances sera n°1 et le salaire n°2.


Le problème c'est que le salaire s'en ressent, j'aime bien la moitié des vacances scolaires c'est un bon compromis.
J'arrive à la fin de ma carrière (encore 5 ans) ce que j'ai beaucoup apprécié c'est que j'ai pu ajuster mes contrats à mes besoins, je ne travaillais pas pendant les vacances quand les enfants étaient petits, j'ai ensuite augmenté le rythme et maintenant qu'ils sont partis je rediminue, mais les contrats se font plus rares.
jogadel - Dim Juil 09, 2017 10:48 am
Sujet du message:
Oui la moitié des vacances scolaire c'est bien. L'avantage quand tu es assmat c'est que pendant les vacances d'été tu es chez toi et c'est quand même un rythme beaucoup plus tranquille et tout le monde en profite. Mes "petits" appréciaient d'avoir mes grands à la maison pour les chouchouter et jouer avec eux et c'était réciproque. On passe un bonne partie du temps dehors dans le jardin ou à se balader. L'inconvénient s'est qu'on ne décroche jamais car on n'a pas de sas boulot/loisir.

J'aime bien aussi quand les vacances sont coupées, du genre lundi, mardi ,vendredi 8h/18h pour 3 enfants et mercredi/jeudi repos.
steph7 - Dim Juil 09, 2017 11:36 am
Sujet du message:
Mon mari vient de m'annoncer qu'il va commencer des études de théologie grand sourire
LAB - Dim Juil 09, 2017 11:39 am
Sujet du message:
Steph très étonné(e)
LAB - Dim Juil 09, 2017 11:45 am
Sujet du message:
jogadel a écrit:
Oui la moitié des vacances scolaire c'est bien. L'avantage quand tu es assmat c'est que pendant les vacances d'été tu es chez toi et c'est quand même un rythme beaucoup plus tranquille et tout le monde en profite. Mes "petits" appréciaient d'avoir mes grands à la maison pour les chouchouter et jouer avec eux et c'était réciproque. On passe un bonne partie du temps dehors dans le jardin ou à se balader. L'inconvénient s'est qu'on ne décroche jamais car on n'a pas de sas boulot/loisir.

J'aime bien aussi quand les vacances sont coupées, du genre lundi, mardi ,vendredi 8h/18h pour 3 enfants et mercredi/jeudi repos.


Oui mes grands ont beaucoup apprécié les petits mais quand ils étaient déjà en primaire et pour les petits en garde c'était bien. Pour décrocher j'ai besoin de partir un peu, mais les petits sont toujours dans ma tête et j'en parle souvent.
tulipe - Dim Juil 09, 2017 12:19 pm
Sujet du message:
steph7 a écrit:
Mon mari vient de m'annoncer qu'il va commencer des études de théologie grand sourire

je ferais bien cela en plus si j'avais le temps. J'ai juste suivi un Mooc au collège des Bernardins.
caillou - Dim Juil 09, 2017 12:23 pm
Sujet du message:
steph7 a écrit:
Mon mari vient de m'annoncer qu'il va commencer des études de théologie grand sourire

très étonné(e) Pour le plaisir d'étudier où il veut devenir pasteur ou ?? (Je n'y connais rien honte )
Le mien ne regrette pas son changement pro, malgré la baisse drastique de salaire (il recommence au SMIC) et de congés (il avait 7 semaines, il repasse à 5). Son expérience passée lui sert puisque ses compétences le feront avancer plus vite dans la hiérarchie, s'il le souhaite, et le dialogue avec les dirigeants est plus aisé pour lui que pour ses jeunes collègues de 20/25 ans.
Poulette - Dim Juil 09, 2017 1:13 pm
Sujet du message:
steph7 a écrit:
Mon mari vient de m'annoncer qu'il va commencer des études de théologie grand sourire


A Toulouse? Mon mari y a fait un an de théologie morale, il a beaucoup aimé.
yoko - Dim Juil 09, 2017 1:21 pm
Sujet du message:
C'esr chouette pour ton mari d'avoir un projet grand sourire comme les autres, c'est avec une idée professionnelle derrière ?
steph7 - Dim Juil 09, 2017 1:41 pm
Sujet du message:
A l'ICT, par correspondance pour la première année. Il est passionné par l'étude des textes bibliques, ce n'est pas nouveau et participe à plusieurs groupes de discussion, d'analyse etc.. Il envisage aussi apparement de se mettre à l'araméen et à l'hébreu?
Quand il a dit ça aux enfants Matthias lui a demandé s'il allait avoir un vrai métier roule de rire (on sent que le statut de père au foyer le perturbe un chouïa... )
pleine lune - Dim Juil 09, 2017 3:54 pm
Sujet du message:
C'est bien Steph! Par contre, avec tous les travaux qu'il a fait avec autant de compétence, il n'est pas seulement père au foyer je dirais!
LAB - Dim Juil 09, 2017 4:54 pm
Sujet du message:
pleine lune a écrit:
C'est bien Steph! Par contre, avec tous les travaux qu'il a fait avec autant de compétence, il n'est pas seulement père au foyer je dirais!

C'est sur mais ce n'est pas marqué sur les fiches de renseignements à l'école clin d'oeil
Clotilde - Dim Juil 09, 2017 5:57 pm
Sujet du message:
zzou a écrit:
mimosa a écrit:
Dans la mesure où on passe énormément de temps au boulot, je trouve très important d'avoir un métier dans lequel on se sente bien et si ce n'est ps le cas c'est bien d'en changer grand sourire

La citation que je préfère du célèbre discours de Steve Jobs à Stanford:
"Le travail occupe une grande partie de l'existence, et la seule manière d'être pleinement satisfait est d'apprécier ce que l'on fait. Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C'est comme en amour, quand vous aurez trouvé, vous saurez."
Cette citation m'a portée dans mon changement (radical!) de situation.
Aujourd'hui, je suis loin d'avoir retrouvé mon salaire d'antan, mais j'adore ce que je fais, je suis en accord avec moi-même. C'est important pour moi.


Tu peux nous en dire plus sur ce changement radical Zzou ?
Je suis pour ma part en plein questionnement... Je n'en peux plus d'écrire, aussi intéressants les sujets (scientifiques) soient ils.
Je vais faire une formation intitulée "donner un nouvel élan à sa carrière", on verra bien ce que ça donne.
marinaq - Lun Juil 10, 2017 8:15 am
Sujet du message:
steph7 a écrit:
A l'ICT, par correspondance pour la première année. Il est passionné par l'étude des textes bibliques, ce n'est pas nouveau et participe à plusieurs groupes de discussion, d'analyse etc.. Il envisage aussi apparement de se mettre à l'araméen et à l'hébreu?
Quand il a dit ça aux enfants Matthias lui a demandé s'il allait avoir un vrai métier roule de rire (on sent que le statut de père au foyer le perturbe un chouïa... )


C'est un chouette projet grand sourire j'ai vu qu'il y avait des cours d'hébreu prévu à partir de l'an prochain je crois, au PUC de Narbonne clin d'oeil
Je le lancerai peut-être plus tard, j'y pense depuis longtemps clin d'oeil pas en langues mais études théologiques grand sourire
carpediem27 - Lun Juil 10, 2017 9:01 am
Sujet du message:
C'est chouette tout ces projets que ce soit pour le plaisir ou pour une reconversion grand sourire

Ici rien de rien pas une idée nada , c'est que je ne dois pas être si mal clin d'oeil
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