Alyssia a écrit: |
Avec 30 h de recul, je me dis que je n'aurais pas dû partir malgré son accueil pas chaleureux du tout quand je suis arrivée alors que c'est elle qui m'avait demandé de passer avec des jeux de société. Il n'y a pas eu de cris, mais l'expression d'une mauvaise humeur. Je n'ai pas pu y voir de la plaisanterie, dans ce reproche concernant ma façon de sonner. J'aurais peut-être dû faire un effort. En même temps, toute mon énergie est partie à ce moment-là, j'ai été sidérée au sens fort du terme, je suis rentrée vidée, un peu comme quand on va tomber malade. Après avoir posté samedi, j'ai mangé léger, je me suis couchée et j'ai dormi 11 h non-stop.
Mon amie est bretonne. Elle est un peu compliquée (mais ça va) et je ne suis pas forcément simple (si on appuie sur le bon bouton, j'explose - mais c'est plutôt rare). On n'a pas la même sensibilité non plus (on ne réagit pas pareil dans des situations similaires). Elle va sûrement m'en vouloir un moment d'être repartie (=d'avoir pris son injonction au pied de la lettre; elle ne s'y attendait sûrement pas, d'habitude j'ignore, j'encaisse et je reste même si elle me fait une remarque acerbe) et de ne pas avoir répondu sur le portable alors qu'elle m'a appelée dans les 5 minutes qui ont suivi. Mais j'étais déjà sur le chemin du retour.
Je m'en veux à cause des deux ados qui avaient espéré une soirée jeux. C'est sur eux qu'est retombé finalement ma (sur-)réaction. Mais sur le moment, je n'ai pas pu faire autrement. Je ne me sentais vraiment pas en état de jouer.
Ça me travaille quand même. Je suis vraiment triste. Je viens de me réveiller en sursaut. De son côté, c'est silence radio. Pas de réaction à mon mail, ni à mon SMS  |
Alyssia a écrit: |
Avec 30 h de recul, je me dis que je n'aurais pas dû partir malgré son accueil pas chaleureux du tout quand je suis arrivée alors que c'est elle qui m'avait demandé de passer avec des jeux de société. Il n'y a pas eu de cris, mais l'expression d'une mauvaise humeur. Je n'ai pas pu y voir de la plaisanterie, dans ce reproche concernant ma façon de sonner. J'aurais peut-être dû faire un effort. En même temps, toute mon énergie est partie à ce moment-là, j'ai été sidérée au sens fort du terme, je suis rentrée vidée, un peu comme quand on va tomber malade. Après avoir posté samedi, j'ai mangé léger, je me suis couchée et j'ai dormi 11 h non-stop.
Mon amie est bretonne. Elle est un peu compliquée (mais ça va) et je ne suis pas forcément simple (si on appuie sur le bon bouton, j'explose - mais c'est plutôt rare). On n'a pas la même sensibilité non plus (on ne réagit pas pareil dans des situations similaires). Elle va sûrement m'en vouloir un moment d'être repartie (=d'avoir pris son injonction au pied de la lettre; elle ne s'y attendait sûrement pas, d'habitude j'ignore, j'encaisse et je reste même si elle me fait une remarque acerbe) et de ne pas avoir répondu sur le portable alors qu'elle m'a appelée dans les 5 minutes qui ont suivi. Mais j'étais déjà sur le chemin du retour.
Je m'en veux à cause des deux ados qui avaient espéré une soirée jeux. C'est sur eux qu'est retombé finalement ma (sur-)réaction. Mais sur le moment, je n'ai pas pu faire autrement. Je ne me sentais vraiment pas en état de jouer.
Ça me travaille quand même. Je suis vraiment triste. Je viens de me réveiller en sursaut. De son côté, c'est silence radio. Pas de réaction à mon mail, ni à mon SMS  |
marinaq a écrit: |
Alyssia a écrit: |
Avec 30 h de recul, je me dis que je n'aurais pas dû partir malgré son accueil pas chaleureux du tout quand je suis arrivée alors que c'est elle qui m'avait demandé de passer avec des jeux de société. Il n'y a pas eu de cris, mais l'expression d'une mauvaise humeur. Je n'ai pas pu y voir de la plaisanterie, dans ce reproche concernant ma façon de sonner. J'aurais peut-être dû faire un effort. En même temps, toute mon énergie est partie à ce moment-là, j'ai été sidérée au sens fort du terme, je suis rentrée vidée, un peu comme quand on va tomber malade. Après avoir posté samedi, j'ai mangé léger, je me suis couchée et j'ai dormi 11 h non-stop.
Mon amie est bretonne. Elle est un peu compliquée (mais ça va) et je ne suis pas forcément simple (si on appuie sur le bon bouton, j'explose - mais c'est plutôt rare). On n'a pas la même sensibilité non plus (on ne réagit pas pareil dans des situations similaires). Elle va sûrement m'en vouloir un moment d'être repartie (=d'avoir pris son injonction au pied de la lettre; elle ne s'y attendait sûrement pas, d'habitude j'ignore, j'encaisse et je reste même si elle me fait une remarque acerbe) et de ne pas avoir répondu sur le portable alors qu'elle m'a appelée dans les 5 minutes qui ont suivi. Mais j'étais déjà sur le chemin du retour.
Je m'en veux à cause des deux ados qui avaient espéré une soirée jeux. C'est sur eux qu'est retombé finalement ma (sur-)réaction. Mais sur le moment, je n'ai pas pu faire autrement. Je ne me sentais vraiment pas en état de jouer.
Ça me travaille quand même. Je suis vraiment triste. Je viens de me réveiller en sursaut. De son côté, c'est silence radio. Pas de réaction à mon mail, ni à mon SMS  |
C'est bien qu'elle réalise que tu as des limites aussi
Maintenant tu peux lui faire un mail en lui disant exactement ce que tu viens d'écrire là...
Après la balle est dans son camp.
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figualix a écrit: |
Alyssia a écrit: |
Avec 30 h de recul, je me dis que je n'aurais pas dû partir malgré son accueil pas chaleureux du tout quand je suis arrivée alors que c'est elle qui m'avait demandé de passer avec des jeux de société. Il n'y a pas eu de cris, mais l'expression d'une mauvaise humeur. Je n'ai pas pu y voir de la plaisanterie, dans ce reproche concernant ma façon de sonner. J'aurais peut-être dû faire un effort. En même temps, toute mon énergie est partie à ce moment-là, j'ai été sidérée au sens fort du terme, je suis rentrée vidée, un peu comme quand on va tomber malade. Après avoir posté samedi, j'ai mangé léger, je me suis couchée et j'ai dormi 11 h non-stop.
Mon amie est bretonne. Elle est un peu compliquée (mais ça va) et je ne suis pas forcément simple (si on appuie sur le bon bouton, j'explose - mais c'est plutôt rare). On n'a pas la même sensibilité non plus (on ne réagit pas pareil dans des situations similaires). Elle va sûrement m'en vouloir un moment d'être repartie (=d'avoir pris son injonction au pied de la lettre; elle ne s'y attendait sûrement pas, d'habitude j'ignore, j'encaisse et je reste même si elle me fait une remarque acerbe) et de ne pas avoir répondu sur le portable alors qu'elle m'a appelée dans les 5 minutes qui ont suivi. Mais j'étais déjà sur le chemin du retour.
Je m'en veux à cause des deux ados qui avaient espéré une soirée jeux. C'est sur eux qu'est retombé finalement ma (sur-)réaction. Mais sur le moment, je n'ai pas pu faire autrement. Je ne me sentais vraiment pas en état de jouer.
Ça me travaille quand même. Je suis vraiment triste. Je viens de me réveiller en sursaut. De son côté, c'est silence radio. Pas de réaction à mon mail, ni à mon SMS  |
Ah les bretonnes, c'est quelque chose !
Sérieusement, je réagirai plutôt comme Laurence et Mammig (tiens, des bretonnes !) : je boude. Elle t'a demandé de partir, c'est à elle de revenir.
En tout cas, et arrête de te mettre la rate au cout-bouillon ! |
J'ai connu deux fratries différentes, uniquement de garçons, qui s'appelaient tous Jean-...
mimosa - Mar Mar 10, 2015 1:58 pm
Sujet du message:
comme Maxie
je trouvais ça original, j'y ai cru parce qu'après tout c mignon comme idée
, j'ai trois soeurs dont le premier prénom est Marie..., même si on ne les appelle que par leur 2e prénom...
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