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toutes les discussions - Choix post Bac... Comment aider?

steph7 - Dim Sep 27, 2015 1:47 pm
Sujet du message: Choix post Bac... Comment aider?
J'ai fait une recherche mais les posts datent d'il y a longtemps...

Si vous avez été confrontée à ça vous pouvez peut-être me conseiller?
Est-ce que vous interviendriez, et comment, si votre enfant en terminale n'avait aucune idée de la suite?
Est-ce que vous avez déjà fait appel à un pro en matière d'orientation?
Au niveau du lycée il n'y a rien de folichon, les élèves vont voir leur PP sur le temps d'A.P mais ma grande n'en attend rien, et vu sa place dans l'alphabet ça sera en novembre...
Elle feuillette les magazines style l'étudiant, Que faire après un bac L.. etc...

Elle ne sait pas du tout quoi faire, n'a pas de "passion", et je pense qu'elle commence à sentir mon stress... honte Je n'ai pas envie d'être sur son dos tout le temps mais ça m'inquiète un peu, je ne sais pas comment l'aider.

J'ai peur du schéma "licence de n'importe quoi en attendant de savoir quoi faire"..
booboon - Dim Sep 27, 2015 1:52 pm
Sujet du message:
Je n'en suis pas encore là, ....
mais nous avons une amie qui a fait "coacher" sa fille en terminale pour savoir quoi faire.... résultat : elle veut travailler dans l'aéronautique.... comme sa mère froggy

Pourquoi tu as peur de licence de n'importa quoi en attendant de savoir quoi faire ? ça peut peut-être lui permettre de mûrir un projet...

Je me souviens avoir décidé de ce que j'allais faire en avril ou mai de ma terminale honte (je sais qu'aujourd'hui ce n'est plus possible à cause des inscriptions)

Moi je pense qu'un jeune qui ne sait vraiment pas où s'orienter, je l'enverrais passer un an dans un pays anglophone ... mais comme dit plus haut, je n'y suis pas encore confrontée...

Bon courage. par contre, je comprends ton stress, c'est très inconfortable comme moment je trouve clin d'oeil
Madec - Dim Sep 27, 2015 2:42 pm
Sujet du message:
Aller voir le centre d'orientation, il y a des conseillers qui parfois sont aussi psychologues.

Tu pars sur du vague, et dans ce cas il faut une filière encore générale tant en sachant que certaines filières sont très demandées et qu'ils se retrouvent trop nombreux pour suivre correctement des cours en uni.


Faire un maximum de porte ouverte sourit ca donne envie ou pas. Elles sont parfois dans certaines écoles privées en décembre, de toute facon janvier-février. Donc a surveiller pour s'arranger, car c'est parfois en semaine, voir plusieurs établissement le même jour.

Rentrer au pire sur Postbac ton académie et voir ce qu'il existe proche de chez toi...

Bon courage, parce que déjà avec un môme qui sait ce qu'il va faire c'est pas facile....
tulipe - Dim Sep 27, 2015 2:44 pm
Sujet du message:
A ta place, je ne stresserais pas. Ses idées vont venir en cours d'année.
Ma fille qui savait parfaitement ce qu'elle voulait faire a changé l'ordre de ses voeux pendant la phase d'APB où l'on peut changer et du coup, ça ne correspond plus du tout avec ce qu'elle voulait faire. L'idée de ce qu'elle veut faire va justement découler de ce qu'elle aura fait au cours de sa licence.

Ici c'est plus simple car ils réfléchissent à l'orientation depuis la 6ème mais ça ne veut pas dire qu'ils s'arrêtent à leur choix lorsqu'ils sont en 2nde ni même en terminale.

Ensuite, les passerelles existent : je connais une élève qui a fait deux ans de classe prépa lettres, puis qui ne savaient pas ce qu'elle voulait faire. ELle est donc partie à l'étranger un an et à son retour elle a été admise en master d'histoire. Il y a des passerelles nombreuses, des équivalences.
Il faut savoir qu'en licence, même si elle est prise en licence d'anglais par exemple, elle a encore jusqu'à octobre pour changer de licence. Bien sûr qu'une licence n'est pas un BTS ou un BEP et ne forme pas à un métier mais peu importe. Soit l'idée du métier lui viendra au cours de la licence si elle en fait une, soit en cours d'année.
D'ailleurs, elle pourrait très bien aller en BTS (peut-être cela te rassurerait plus) et décider de changer d'orientation après l'obtention de celui-ci.
laurence - Dim Sep 27, 2015 2:51 pm
Sujet du message:
Au pire elle rentre vingt choix qui ne lui déplaisent pas, et elle aura jusque tard (fin mai je crois) pour les classer dans l'ordre. ça lui laisse un peu de temps quand même.
Pour l'instant les quatre premiers savaient précisément ce qu'ils voulaient faire. ça sera plus difficile pour mon cinquième, mais au moins il a un profil scientifique/technologique évident, c'est clair qu'il n'ira pas du côté histoire-géo and co Bizarre

Je trouve que ce n'est pas évident d'avoir des idées, sorti des métiers "classiques" et de ceux pratiqués par un entourage proche.
tulipe - Dim Sep 27, 2015 3:03 pm
Sujet du message:
Madec a écrit:

Tu pars sur du vague, et dans ce cas il faut une filière encore générale tant en sachant que certaines filières sont très demandées et qu'ils se retrouvent trop nombreux pour suivre correctement des cours en uni.

.

Ben non puisqu'ils prennent un nombre d'étudiants en fonction du nombre de places disponibles (et c'est d'ailleurs bien pour cela que chaque année des élèves se retrouvent sans affectation à la fac). Pour le LEA russe anglais, il n'y avait que 28 places.
Pour une matière où il y a 4 profs qui font le TD pour 1h30, il y a 120 élèves pris car 120 places (ils sont 30 par TD) (c'est bien pour cela que ma fille a eu du mal à changer un cours qui chevauchait un autre car l'horaire qu'elle souhaitait était déjà pris).
Les profs font l'appel et d'ailleurs certains élèves qui s'étaient incrustés sur l'horaire de ma fille car ça les arrangeait, ont été priés par l'enseignant de quitter le cours pour aller au cours auquel ils étaient inscrits.


ça n'est pas la fête du slip, les élèves ne font pas ce qu'ils veulent.
Au bout de trois absences non justifiées : tu récoltes un 0 ! Et vu qu'il n'y a pas pléthore d'examens, ça doit être coton de rattraper cela..

Au premier cours la semaine dernière, un prof leur avait déjà donné la date du prochain examen oral prévu pour chaque élève.

Les facs sont bien loin de ce que l'on a connu (sauf pour l'administration..
laurence - Dim Sep 27, 2015 3:11 pm
Sujet du message:
tulipe a écrit:

Les facs sont bien loin de ce que l'on a connu (sauf pour l'administration..


Oui enfin ça dépend où et quoi. En sciences sanitaires et sociales, mon troisième n'a pas vu en quatre mois l'ombre d'un TD. Et on n'a pas compté le nombre de cours supprimés ou déplacés au dernier moment pff n'importe quoi
ça me déprimait vraiment de le voir dans ce cul de sac éducatif...
tulipe - Dim Sep 27, 2015 3:15 pm
Sujet du message:
laurence a écrit:
tulipe a écrit:

Les facs sont bien loin de ce que l'on a connu (sauf pour l'administration..


Oui enfin ça dépend où et quoi. En sciences sanitaires et sociales, mon troisième n'a pas vu en quatre mois l'ombre d'un TD. Et on n'a pas compté le nombre de cours supprimés ou déplacés au dernier moment pff n'importe quoi
ça me déprimait vraiment de le voir dans ce cul de sac éducatif...

Mais il n'avait que des cours en amphi ?
Ici une matière = un cours en amphi et un cours de TD clin d'oeil
Bon, en revanche le niveau des élèves laisse songeuse.....entre celle qui ne sait pas conjuguer au passé simple et l'autre qui ne sait pas ce qu'est le présent progressif en anglais...
Sinon les profs sont très encourageants d'après ma fille.
laurence - Dim Sep 27, 2015 3:25 pm
Sujet du message:
tulipe a écrit:

Mais il n'avait que des cours en amphi ?


Oui...

Le niveau: avec la réforme de l'enseignement de physique, je me retrouve à donner en BTS 1ère année des TD que je donnais avant en première. Mais à part ça tout va bien, on n'a jamais eu tant de diplômés du supérieur...
Madec - Dim Sep 27, 2015 3:39 pm
Sujet du message:
Ici, 400 élèves en amphi pour Staps il faut arriver très en avance pour entendre le cours, une autre en prépa pour être kiné recoit ses cours toutes les 3 semaines et le prof réponds aux questions posés par le net à la 4ème seamines pour leur donner aussi le prochain cours sur 3 semaines.....

Rien a voir avec les classes dites limitées.....
yoko - Dim Sep 27, 2015 5:11 pm
Sujet du message:
Steph, est-ce que ta fille a déjà eu un rdv au CIO ?
En le demandant, mon fils a pu faire l'année dernière une sorte de test d'orientation, dont il est ressorti des familles de métiers compatibles avec ses réponses. Bon lui il a dans la tête de faire autre chose grimace , mais avec son père on trouve que ça visait plutôt juste. Donc si ce n'est déjà fait, lui demander de prendre rapidement RDV au CIO, et d'y demander un test. En parler avec un tiers peut aussi l'aider à éclaircir.
Ensuite peut-être voir avec elle quel genre d'études elle veut faire, à défaut de métier. Les matières qu'elle aimerait approfondir. Est-ce qu'elle préfère une filière avec beaucoup d'autonomie, ou quelque chose de plus "encadré", une filière sélective ou pas, des études longues, ou pas.
Et peut-être en tant que parents (les deux clin d'oeil ) expliciter vos attentes, vos projections, vos inquiétudes. Pas forcément devant elle, mais au moins pour essayer des ne pas avoir trop de "poids" de non dit dans les discussions avec elle.
steph7 - Dim Sep 27, 2015 6:02 pm
Sujet du message:
Non pas de rendez-vous au CIO... j'en sais rien tous les lycées font ça? ou c'est en dehors du lycée?

La fac dans ma jeunesse c'était un joyeux foutoir aussi, tout le monde pouvait y aller, tu bossais ou tu ne bossais pas, tu assistais au cours ou non, c'était ton pb...

Laurence c'est terrible cette constatation ! remarque quand je lis le compte rendu envoyé aux profs à propos du DNB ... c'est assez effarant...
Gwenaelle - Dim Sep 27, 2015 6:15 pm
Sujet du message:
prendre rdv rapidement au CIO avec un COP..mais en attendant elle peut faire des tests sur internet.
Le site de l'ONISEP est bien fait je trouve aussi.
faire le maximum de portes ouvertes..tu n'en avais pas fait l'année dernière?..et ne pas oublier celles des facs..
Ne pas stresser si cela ne vient pas,cela ne sera pas la mort si elle "perd " une année à se trouver clin d'oeil
L'année à l'étranger ou un service civique peut aussi être une bonne chose pour mûrir un projet .
yoko - Dim Sep 27, 2015 6:21 pm
Sujet du message:
Les CIO c'est en dehors des lycées. Normalement ils parlent de leur existence au lycée et meme au collège... les conseillères d'orientation y font des permanences, il est possible de prendre rdv au lycée ou au CIO.
Leurs missions sur cette page : http://www.education.gouv.fr/cid160/les-lieux-d-information-de-l-orientation.html
Un annuaire là : http://www.education.gouv.fr/cid160/les-lieux-d-information-de-l-orientation.html
Une liste à télécharger là : http://blog.sgen.net/orientation/liste-exhaustive-des-cio-de-france/
Elle a intéret à prendre RDV rapidement, car les délais sont variables, si elle veut faire un "test" il faut qu'elle le demande explicitement et elle aura plusieurs RDV. Si besoin ça peut être sur temps scolaire.
tulipe - Dim Sep 27, 2015 6:33 pm
Sujet du message:
Oui le CIO il faut qu'elle y aille de son propre chef clin d'oeil Ma fille y était allée en 4ème ou 3ème et avait fait des tests qui correspondaient bien à sa personnalité. ça ne lui donnait pas un métier mais une indication sur le type de métiers dans lesquels elle serait à sa place.

Comme Gwenaëlle, faire les portes ouvertes permet de bien se rendre compte. D'ailleurs la mienne n'a fait qu'une porte ouverte et m'avait dit avant de commencer que si elle trouvait l'organisation nulle où elle était, elle irait dans l'établissement qu'elle avait visité. Elle avait pu discuter avec des enseignants et voir comment cela se passait.
Lila - Dim Sep 27, 2015 6:42 pm
Sujet du message:
laurence a écrit:
tulipe a écrit:

Les facs sont bien loin de ce que l'on a connu (sauf pour l'administration..


Oui enfin ça dépend où et quoi. En sciences sanitaires et sociales, mon troisième n'a pas vu en quatre mois l'ombre d'un TD. Et on n'a pas compté le nombre de cours supprimés ou déplacés au dernier moment pff n'importe quoi
ça me déprimait vraiment de le voir dans ce cul de sac éducatif...


En L1 en SESI, mon n°3 est désolé, il espérait enfin faire des maths cette année (il attend cela depuis le CP, pauvre poulet), et puis... non. Il espère qu'enfin, lorsqu'arrivera le S2 et que l'écrémage aura été fait, il pourra enfin travailler.

Hier je lui ai dit: "Tu aurais dû faire une double inscription en droit, ça t'aurait occupé" j'en sais rien
steph7 - Dim Sep 27, 2015 7:05 pm
Sujet du message:
Merci beaucoup! Elle va appeler le CIO et prendre rendez-vous.. Elle me dit que personne au lycée n'en a parlé mais bon... sifflote innocemment


Quand vous dites de faire les portes ouvertes, il faut déjà avoir une idée d'école ou de fac... j'en sais rien
nananne - Dim Sep 27, 2015 7:08 pm
Sujet du message:
Il y a des forums où beaucoup de formations sont présentées
rlullier - Dim Sep 27, 2015 7:14 pm
Sujet du message:
les deux lycées où j'ai bossé organisaient des forums, une fois par mois environ, selon les types de métiers (métier du spectacle, métier juridique, métiers de la science...)
Sinon, un de mes élèves avait consulté un cabinet extérieur, pour trouver son orientation, et quand je l'ai revu, il était très content de son choix.
Gwenaelle - Dim Sep 27, 2015 7:28 pm
Sujet du message:
on a détesté les salons de l'étudiant, ou formathèque..c'est blindé de monde, si tu n'as pas une idée, c'est une perte de temps.
bibounette80 - Dim Sep 27, 2015 8:47 pm
Sujet du message:
Après un bac L je savais ce que je voulais faire (instit) mais pas comment.
J'ai fait une prepa de lettres sur le conseil de mes profs, et j'ai continué en licence de lettres après.
Je n'étais pas très motivée pour aller en fac (pas les vacances mais j'avoue que la licence ça n'a pas été bien violent!) et ça m'a permis d,être sure que je voulais bien faire lettres comme licence ( certaines copines ont fait une autre licence que celle qu'elles pensaient faire au lycee, ou ont dévié sur autre chose comme école de commerce)
steph7 - Dim Sep 27, 2015 8:50 pm
Sujet du message:
Elle a eu des forums des métiers mais il n'y avait que des métiers représentés dans le coin... gendarme, infirmière, agriculteurs...rien de concluant pour elle, et elle a été au salon de l'étudiant à Toulouse l'an dernier mais ça ne l'a pas éclairée... beaucoup d'écoles de commerce je crois..
Poulette - Dim Sep 27, 2015 11:59 pm
Sujet du message:
Nos numéros 2 et 5 nous ont fait ce genre de plan. En décembre ils ne savaient pas trop quoi faire. On a fait comme conseillé par Laurence, on a mis plein de choix sur APB. Ils ont eu plus de temps pour réfléchir. Ensuite, le stress de devoir classer les voeux les a stimulés!
Si elle ne veut pas aller en prépa (il me semble qu'on n'y rentre que juste après le bac) je l'enverrais un peu à l'étranger mais dans un endroit défavorisé, aider. Il paraît que les jeunes en reviennent en sachant vers quoi s'orienter après avoir été confrontés à la misère. Enfin c'est ce qu'on m'a raconté, je ne sais pas si j'aurais eu le cran de les y envoyer s'ils n'avaient pas su quoi faire. Ou alors un an au pair histoire de revenir bilingue, au moins elle aurait rentabilisé son année?
Ce qui est sûr c'est qu'à la place d'une "licence de n'importe quoi" je choisirais la prépa, même dans un lycée pas terrible. Au moins ils sont encadrés.
karine16 - Lun Sep 28, 2015 6:29 am
Sujet du message:
clin d'oeil
Lila - Lun Sep 28, 2015 7:21 am
Sujet du message:
Poulette a écrit:
Ou alors un an au pair histoire de revenir bilingue, au moins elle aurait rentabilisé son année?
Ce qui est sûr c'est qu'à la place d'une "licence de n'importe quoi" je choisirais la prépa, même dans un lycée pas terrible. Au moins ils sont encadrés.


Partir au pair n'est pas la garantie de rentrer bilingue. J'ai été fille au pair, on passe beaucoup de temps seule avec des bébés, ou à faire le ménage, ou juste seule pendant son temps libre (et encore, j'avais de la chance, à Londres il y a plein d'autres au pairs avec qui se lier). J'ai largement plus appris en allant un an aux EU comme "exchange student".

Pour ce qui est de la prépa, mon fils est mieux en université, avec moins de stress, qu'en prépa où il n'aurait pas tenu plus de deux mois. Tous les enfants ne sont pas capables de supporter l'ambiance de compétition.
rlullier - Lun Sep 28, 2015 7:23 am
Sujet du message:
karine16 a écrit:
Pour y être passée avec Claire l'an dernier (bac L également) je te dirai de ne pas stresser. Même jusqu'à la date butoir d'apb, elle ne savait pas quoi faire clin d'oeil

Juste des idées de métiers mais rien de concluant. son choix s'était porté sur un bus tourisme en alternance et finalement elle n'a pas trouvé de patron. Elle a donc pris son 2e vœu qui était la fac (LEA). Et finalement elle trouve ça très bien. Pourvu que ça dure clin d'oeil


C'est vraiment galère, l'apprentissage, pour ça...
Mon élève veut faire une licence en apprentissage l'an prochain, elle cherche depuis l'an dernier pff n'importe quoi
nelcy - Lun Sep 28, 2015 8:13 am
Sujet du message:
rlullier a écrit:
karine16 a écrit:
Pour y être passée avec Claire l'an dernier (bac L également) je te dirai de ne pas stresser. Même jusqu'à la date butoir d'apb, elle ne savait pas quoi faire clin d'oeil

Juste des idées de métiers mais rien de concluant. son choix s'était porté sur un bus tourisme en alternance et finalement elle n'a pas trouvé de patron. Elle a donc pris son 2e vœu qui était la fac (LEA). Et finalement elle trouve ça très bien. Pourvu que ça dure clin d'oeil


C'est vraiment galère, l'apprentissage, pour ça...
Mon élève veut faire une licence en apprentissage l'an prochain, elle cherche depuis l'an dernier pff n'importe quoi


Même son de cloche autour de moi avec des enfants d'amis qui souhaitaient choisir ce système ils y ont tous renoncé faute d'avoir trouvé un patron.
C'est dommage, il y a un réel engouement de la part de certains jeunes pour ce mode d'apprentissage....

Je vais suivre les conseils sur ce post, car je risque de me poser les mêmes questions dans un an, ma fille a 1000 idées mais ça part dans tous les sens, il va falloir canaliser tout ça fait très chaud
violette - Lun Sep 28, 2015 9:37 am
Sujet du message:
En pleine réflexion ici aussi avec notre 17 ans clin d'oeil
steph7 - Lun Sep 28, 2015 11:13 am
Sujet du message:
Poulette a écrit:

Si elle ne veut pas aller en prépa (il me semble qu'on n'y rentre que juste après le bac) je l'enverrais un peu à l'étranger mais dans un endroit défavorisé, aider. Il paraît que les jeunes en reviennent en sachant vers quoi s'orienter après avoir été confrontés à la misère. .


Non pas envie de prépa. C'est une bonne élève mais pas une acharnée de travail, et l'esprit de compèt + stress... bof bof c'est pas son truc.

Le coup de l'envoyer aider dans un pays défavorisé hum... à 17 ans, bénévole ? sans formation ni rien... je ne vois pas trop le but. (une manière hyper fine de lui faire toucher du doigt la chance qu'elle a de vivre dans un pays riche? j'en sais rien )

Si elle part à l'étranger ça sera dans le cadre d'un SVE, mais selon les différents sites c'est 17 ou 18 ans l'âge minimum...
Momo777 - Lun Sep 28, 2015 11:35 am
Sujet du message:
Ce qui est toujours une bonne chose - si on aime, mais je pense qu'il faut au moins être majeur - c'est jeune fille au-pair... surtout si elle aime les langues (est-ce le cas?)

Disons que c'est une manière de découvrir un autre pays (visites, vie avec une autre famille), d'apprendre la langue (on général, on suit des cours), de se responsabiliser (on s'occupe des enfants et un peu du ménage en général) - et à priori, on reçoit aussi de l'argent de poche.

Bon, maintenant, un an ça fait long... je ne sais pas si ça existe aussi que pour quelques mois. J'aurais tendance à dire que ce n'est pas une année de perdu et que pendant cette année... "sabbatique" on va dire... on a le temps de réfléchir, de trouver des idées...

Sinon, ben oui, centres des métiers, conseillers d'orientation... le tout dans une ambiance détendue sans la stresser.

Courage
Madec - Lun Sep 28, 2015 11:59 am
Sujet du message:
J'ai une amie de mon fils de 17 ans qui est partie refaire une année de 1ère en Allemagne, sans avoir jamais suivi de cours d'allemand.
C'est très courageux de sa part et je pense une chouette expérience et puis ca permet de réfléchir à tout ca.

Bon, il me semble que les bacheliers sont les prioritaires pour post-bac, alors en revenant une année après le bac je ne suis pas sûre qu'elle reste prioritaire à vérifier auprès du CIO.
philipine - Lun Sep 28, 2015 12:01 pm
Sujet du message:
petite expérience pour N1 l'année passée.
Elle n'avait aussi aucune idée et elle qui est plutôt indépendante, m'a laissé tout faire.

J'ai cherché quelle formation lui correspondait le mieux et plus généraliste.
Après discussion, la prépa ne l'a tentait pas du tout pour les même raisons que ta fille.

Nous avons fait des salons de l'étudiant, plutôt commerce, cela a permis de déterminer que école d'ingénieur ce n'était pas ça qu'elle aimait trop de math et physique, mais plus le commerce.
Sauf que le problème c'est posé : comment choisir ? toutes avaient quelque chose d'attrayant.

Le système fac a beaucoup changé (chez nous) et récupère une bonne réputation. Je me suis donc orienté vers un IUT GEA. Elle a semblé accrochée et à passé des entretien de sélection plutôt motivé.

Sur APB, nous avions fait 12 choix et avons mis dans le bon ordre assez rapidement.

Le verdict tombe : elle est prise à Bourges, elle est très contente, moi moins je n'avais pas réalisé qu'elle allait partir.

Mais je sentais que cela lui plaisait, mais que ce n'était pas elle qui avait choisi, je n'avais pas bonne conscience.

Un soir, elle regarde une émission sur l’hôtellerie de luxe avec les yeux pétillant et me dit que vraiment elle aime l’hôtellerie, choix que j'avais mis de côté car connaissant un peu le milieu, c'est dure pas de vie de famille, travail à l'inverse des gens....

Mais 15 jours après mon mari revient après une réunion avec la carte de visite d'un intervenant dans une école de tourisme et management à la fac de notre ville.

Trop de signes, renseignements pris cela semble lui convenir sauf que nous sommes le 25 juin et que ce n'était pas inscrit sur ses voeux d'APB.

Après renseignements, il y a un troisième cycle de recrutement le 26 juin.

Et aucun regret, c'est un système fac avec un coût de fac, des cours magistraux et des cours en groupe de 20 et cerise sur le gâteau c'est chez nous.
Maxie - Lun Sep 28, 2015 2:25 pm
Sujet du message:
Lila a écrit:
laurence a écrit:
tulipe a écrit:

Les facs sont bien loin de ce que l'on a connu (sauf pour l'administration..


Oui enfin ça dépend où et quoi. En sciences sanitaires et sociales, mon troisième n'a pas vu en quatre mois l'ombre d'un TD. Et on n'a pas compté le nombre de cours supprimés ou déplacés au dernier moment pff n'importe quoi
ça me déprimait vraiment de le voir dans ce cul de sac éducatif...


En L1 en SESI, mon n°3 est désolé, il espérait enfin faire des maths cette année (il attend cela depuis le CP, pauvre poulet), et puis... non. Il espère qu'enfin, lorsqu'arrivera le S2 et que l'écrémage aura été fait, il pourra enfin travailler.



Comment ça se fait qu'il n'a pas de maths? Pas de place dans les cours?
laurence - Lun Sep 28, 2015 2:35 pm
Sujet du message:
Le premier semestre SESI ça ressemble assez à des révisions/consolidations sur le programme de terminale S.
virgulle - Lun Sep 28, 2015 3:38 pm
Sujet du message:
laurence a écrit:
Le premier semestre SESI ça ressemble assez à des révisions/consolidations sur le programme de terminale S.

Mais sans calculatrice...
carpediem27 - Lun Sep 28, 2015 4:31 pm
Sujet du message:
virgulle a écrit:
laurence a écrit:
Le premier semestre SESI ça ressemble assez à des révisions/consolidations sur le programme de terminale S.

Mais sans calculatrice...



Çà été la cata en maths pour mon grand l'année dernière sans la calculatrice clin d'oeil
On devrait déjà les habituer à faire sans en terminale , çà été violent pour lui mais çà ne l'a pas empêché de valider sa première année fait très chaud

Ça va se décanter au fur et à mesure et elle peut toujours modifier ses choix tard dans l'année
Lila - Lun Sep 28, 2015 5:57 pm
Sujet du message:
Maxie a écrit:
Comment ça se fait qu'il n'a pas de maths? Pas de place dans les cours?


Voilà, c'est ça:
laurence a écrit:
Le premier semestre SESI ça ressemble assez à des révisions/consolidations sur le programme de terminale S.

Il dit que c'est comme reprendre tout le programme du lycée, depuis la seconde. Et comme pour lui, il n'a pas fait "des vraies maths" au lycée, il dit que là, il n'en fait toujours pas.

Mais ça va finir par venir, il faut juste qu'il soit patient (d'où l'intérêt d'une double inscription, selon moi).
tulipe - Lun Sep 28, 2015 6:14 pm
Sujet du message:
Lila hormis une double licence, il n avait pas la possibilité de faire une deuxième matière avec ses maths ? Avec moins d heures pour la deuxième matière.
Ma fille fait histoire mais il y en a qui font histoire et langue arabe, droit et philo etc.
Dadou - Lun Sep 28, 2015 6:26 pm
Sujet du message:
laurence a écrit:
Le premier semestre SESI ça ressemble assez à des révisions/consolidations sur le programme de terminale S.

C'est un semestre commun aux 8 mentions(spécialités) de cette licence, non ? Qu'est-ce qu'il a choisi ? math ?
laurence - Jeu Oct 08, 2015 8:12 pm
Sujet du message:
Tiens Steph, j'ai vu ça, je me suis demandée si ça ne pourrais pas intéresser ta fille: entre fac un prépa, un cursus pour les étudiants curieux.

"Au cœur du Quartier latin, dans un amphi de la rue Gay-Lussac, une assemblée studieuse prend en note la conférence de l’historien Johann Chapoutot, spécialiste du nazisme, en ce tout début du mois d’octobre. Il l’invite à penser ce totalitarisme et ses crimes non pas comme un accident, mais en discernant ses racines, ses complicités et ses prolongements.

Le propos captive son auditoire : 73 étudiants inscrits en première année du cycle pluridisciplinaire d’études supérieures (CPES). Un cursus original entre « prépa » – du moins pour le rythme de travail – et université d’une durée de trois ans, où tous les étudiants peuvent suivre un large champ de matières (philosophie, mathématiques, histoire, sociologie, langues, arts…), lancé en 2012 comme une sorte d’ovni universitaire, grâce à un financement d’excellence (Idex) par la Communauté d’universités et d’établissements (Comue) de Paris Sciences et Lettres (PSL).

Le démarrage de ce qui était au départ un simple diplôme d’établissement de PSL est un succès. A la rentrée, cette formation a obtenu le grade licence. Ce qui permet aux étudiants d’obtenir chaque année 60 crédits ECTS (système de validation européenne des diplômes). Cette reconnaissance vient consacrer une réussite déjà avérée : quatre élèves diplômés l’an dernier sont entrés à Polytechnique, d’autres ont intégré l’Ecole normale supérieure d’Ulm, de Cachan ou de Lyon, sans passer les concours. D’autres encore des masters à l’Ecole d’économie de Paris, à l’université Paris-Dauphine ou encore à Sciences Po.

En première année, l’essentiel des cours se tient au lycée Henri-IV. Le CPES, s’il a recours aux professeurs de la prépa, n’est pas une préparation aux concours. Il offre un cocktail large d’enseignements, avec une spécialisation progressive. Les 73 élèves (90 sont prévus pour la rentrée 2016) sont répartis en trois filières : humanités, sciences et sciences économiques, sociales et juridiques. Ils se retrouvent tous dans un « tronc commun » comprenant le cours d’initiation aux pratiques de recherches où chercheurs et sommités du Collège de France viennent régulièrement apporter leur éclairage.
Enseignement décloisonné

Les élèves y apprennent « les règles contraignantes d’un travail de recherche. Et ils soutiennent des dossiers de recherche ou, en deuxième année, des mémoires ou des travaux collectifs, selon les filières », explique David Schreiber, professeur d’histoire et coordinateur de cet enseignement. Egalement dans le tronc commun : des sessions d’histoire de l’art, des cours d’expression orale et écrite ou des cours d’anglais renforcés.

Tous les enseignements sont décloisonnés : « Ce que j’adore, c’est que les matières ne sont pas segmentées : un atelier de lecture avec des textes de sociologie, un prof d’économie qui mêle sociologie et mathématiques…. », témoigne Aladji Jikine, 18 ans, ancien élève du lycée François-Villon à Paris. Les élèves se spécialisent au fil du temps – avec une matière majeure et une mineure – mais en mêlant toujours sciences dures et sciences sociales.
Preuve du succès de ce nouveau cycle : pour la rentrée 2015, 834 futurs bacheliers ont tenté leur chance pour 73 places

Si elle offre une telle palette, c’est que cette formation repose sur les 25 institutions membres de PSL, dont les classes préparatoires du lycée Henri-IV, l’Ecole normale supérieure (ENS-Ulm), Mines ParisTech, l’ESPCI (Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris), l’université Paris-Dauphine ainsi que des écoles d’art. L’accent mis sur les langues a séduit Clémence Biellemaz, 17 ans, bachelière de l’institut Saint-Pierre à Brunoy (Essonne), qui a obtenu 19,6 de moyenne au bac S, de même que les activités culturelles. Depuis la rentrée, les étudiants sont allés visiter le Panthéon, passer la soirée à l’Opéra, ou participer à un atelier de dessin au Louvre.

Au-delà, c’est la possibilité de pouvoir mûrir son projet qui attire les élèves. « C’est le cycle des indécis », plaisante Joséphine Raugel, 18 ans, bac S mention très bien, du lycée Claude-Monnet à Paris ; même si elle sait déjà qu’elle est passionnée par les neurosciences.

« C’est une alternative à la prépa pour comprendre les choses plutôt que de se mettre en mode bête à concours. Les profs sont géniaux et nous incitent à développer notre esprit critique. Les profs de prépas nous disent eux-mêmes qu’ils nous enseignent différemment », explique-t-elle. De même que son collègue Attouman Kouassi, 19 ans, arrivé en 1re d’Abidjan au lycée Guy-de-Maupassant de Colombes, passionné lui aussi par cette matière, s’investit dans Paris Montagne. Une association qui initie les jeunes à la recherche.
Privilégier la diversité sociale

Cette formation est accessible sur admission post-bac. Ensuite, comme toute formation sélective, il faut remplir un dossier et écrire une lettre de motivation. Preuve de son succès : pour la rentrée 2015, 834 futurs bacheliers ont tenté leur chance pour 73 places.

« On ne va pas chercher d’abord des têtes de classe au profil purement scolaire dans les grands lycées parisiens », indique Isabelle Catto, directrice du CPES. Mais des bons élèves, curieux, avec de vraies personnalités et conservant une passion à côté de leurs études – musique ou sport notamment. Dans la promo 2015, on trouve à la fois des mentions très bien au bac mais aussi des mentions passable.

« Au terme d’une année de médecine, j’ai décidé de me réorienter. Je n’ai pas eu de mention au bac et pourtant j’ai été sélectionnée pour cette formation, ce qui m’a d’ailleurs étonnée. Ici on donne une chance à tout le monde », dit Geanice Kamba, originaire de Bougival. Le recrutement privilégie la diversité sociale : 33,6 % des 834 candidats étaient boursiers ; à l’arrivée 45,2 % des 73 admis le sont. L’objectif est d’atteindre les 50 %. Un partenariat signé avec la Cité universitaire propose par ailleurs des logements à 56 élèves de province ou de l’étranger.

Une fois la sélection de départ opérée, le taux de passage en année supérieure se situe entre 85 % et 90 %. Seuls trois étudiants de 3e année n’ont pas validé le diplôme du premier coup l’an dernier. Certains élèves choisissent néanmoins de se réorienter en cours de route – parfois en étant admis dans une école – et laissent des places ouvertes en 2e et 3e année… notamment à des élèves de prépa qui souhaitent les quitter.

Au bout des trois ans, l’accès à des masters de la Comue PSL est grand ouvert : « Je suis intéressé par l’actuariat, la banque et la finance, et en 3e année, nous avons un cursus sur ces matières avec Dauphine », se réjouit d’avance Charles Jugeau, élève marseillais de 17 ans, en première année. Mais pas exclusif : les diplômés ont visiblement de larges perspectives.
Une formation plébiscitée par les jeunes filles

Le profil des admis est à peu près le même depuis trois ans : environ deux tiers de filles (56 sur 73 à la rentrée 2015), près de la moitié de boursiers (45,2 %). Deux tiers des élèves viennent d’au-delà de l’Ile-de-France. La formule attire les jeunes filles, « davantage rebutées par l’esprit de compétition interne aux prépas, et plus demandeuses de l’aspect pluridisciplinaire que nous offrons », explique la directrice, Isabelle Catto.

« Au départ, je pensais entrer en prépa PCSI [physique, chimie, sciences de l’ingénieur], car je m’intéresse avant tout à ces matières. Mais cette formation pluridisciplinaire est plus constructive et plus épanouissante. Nous ne sommes pas coupés du monde comme des élèves de prépa jusqu’à leur concours », témoigne Myriam Meddahi, 18 ans, élève de 1re année, une ancienne du lycée Henri-IV.

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Mistral - Jeu Oct 08, 2015 8:33 pm
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Ça a l'air génial !
Parfait pour les indécis... C'est tellement dur de savoir ce qu'on veut faire à 17 ans...
steph7 - Jeu Oct 08, 2015 10:38 pm
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Merci Laurence!
Coquelicot.fr - Ven Oct 09, 2015 4:45 am
Sujet du message:
Le programme a l'air plus que génial. Dommage pour la sélection qui est de moins de 10% ... On devrait étendre ce concept. Ce qui frappe, hormis l'originalité du type de cours offerts, c'est la qualité qui semble sous-tendre le cursus. Les miens trouvent souvent que la fac c'est franchement "léger"...
figualix - Ven Oct 09, 2015 7:01 am
Sujet du message:
Ah oui, ça semble très bien ! Belle initiative.
Mais peu de places, ça va finir comme un truc extrêmement sélectif.
figualix - Ven Oct 09, 2015 8:03 am
Sujet du message:
Ma fille l'a lu ce matin avant de partir au collège, elle est enthousiaste !
Merci Laurence !
flore - Dim Oct 11, 2015 4:24 pm
Sujet du message:
Les profs ont bien aidé mes 3 grands. Il y a beaucoup d'échanges.
steph7 - Mar Oct 27, 2015 7:36 pm
Sujet du message:
Bon, Thaïs a eu l'entretien avec au CIO... comme elle avait déjà un peu déblayé le terrain elle n'a pas eu droit au test sur internet, mais en discutant une heure avec le conseiller, elle en a conclu que Sciences Po ça serait top... (on lui avait juste suggéré ça une dizaine de fois mais bon... pff n'importe quoi on n'est que ses parents quoi...) elle pensait que ce n'était que de la politique... bref.....


Ma soeur, qui a acheté la prép. du Cned pour son fils -qui pensait peut être tenter Sciences Po Paris mais a changé d'avis - m'a passé les codes pour que ma fille puisse le faire et que ça ne soit pas perdu... hourrah il n'a pas commencé quoique ce soit, j'espère que ça ne va pas poser de pb que ça soit à un autre nom?
Sinon elle m'a dit qu'elle mettrait sur APB des cursus d'histoire / information /communication ... Elle a l'air de cerner un peu mieux ce qu'elle a envie de faire, c'est un chouïa rassurant !
Gwenaelle - Mar Oct 27, 2015 8:04 pm
Sujet du message:
C'est chouette grand sourire
Mais tu disais que ce n'était pas une acharnée de boulot, de stress..là, elle va être servie!
C'est quoi comme prépa?
Mon aînée est inscrite à" tremplin".c'est une prépa iep.
Aujourd'hui,elle rendait son premier devoir d'anglais "brexit or not brexit"
steph7 - Mar Oct 27, 2015 9:44 pm
Sujet du message:
Je crois que c'est ça..
Côté boulot et stress... joker....
C'est entre ses mains maintenant, elle va vite se rendre compte qu'il faut qu'elle s'y mette... clin d'oeil
yoko - Mer Oct 28, 2015 10:04 am
Sujet du message:
Tant mieux pour Thais si elle a pu avancer dans sa reflexion. Heureusement il reste encore quelques mois avant apb grand sourire J'ai été voir par curiosité les modalités d'admission à sciences po, ça a bien changé depuis mon époque de mon temps...

De notre côté je me suis perfectionnée en connaissance des différentes filières post bac pour les scientifiques, et en particulier du côté des écoles d'ingénieurs. J'ai montré à mon grand tout ce que je voyais qui pourrait lui correspondre, lui ai proposé d'aller faire des portes ouvertes... La balle est dans son camp et j'espère qu'il va la saisir ! Je pense qu'une école d'ingénieur post bac pourrait lui convenir, s'il passe les sélections bien sûr. J'ai repéré l'utc notamment. Vous connaissez des jeunes qui ont fait cette école? Ensuite ils y a les insa, ou le réseau polytech. Plus bien certaines écoles privées, mais là il faudrait qu'il fasse un prêt.
Bref ce ne sont pas les possibilités qui manquent, mais là tout de suite je vois qu'il préfère faire tout autre chose que de s'informer, se projeter.
steph7 - Mer Oct 28, 2015 1:11 pm
Sujet du message:
Bon je suis embêtée... après avoir entré les codes de mon neveu sur le site, il faut cocher la case habituelle comme quoi on accepte les CGU... je les ai lues et ce qu'on veut faire c'est clairement de l'usurpation d'identité... soupire vous pensez qu'en appelant le Cned et en leur expliquant le truc ils accepteraient de basculer l'inscription sur ma fille ? Si ma soeur de son côté leur explique la situation?
@rmelle ;) - Mer Oct 28, 2015 1:19 pm
Sujet du message:
steph7 a écrit:
Bon je suis embêtée... après avoir entré les codes de mon neveu sur le site, il faut cocher la case habituelle comme quoi on accepte les CGU... je les ai lues et ce qu'on veut faire c'est clairement de l'usurpation d'identité... soupire vous pensez qu'en appelant le Cned et en leur expliquant le truc ils accepteraient de basculer l'inscription sur ma fille ? Si ma soeur de son côté leur explique la situation?

à l'italienne on ne dirait rien à personne et on enverrait les devoirs avec les codes du neveu sifflote innocemment
barnaby - Mer Oct 28, 2015 1:20 pm
Sujet du message:
Steph, je me doute, mais cela change quoi, c'est une préparation, rien d'officiel?, le risque est qu'il annule tout non?, il n'y a rien dans le contrat qui le précise?
Tu peux peut-être appeler juste pour te renseigner si le contrat est passable à un tiers sans en préciser plus?
steph7 - Mer Oct 28, 2015 5:16 pm
Sujet du message:
J'essaie de les joindre pour poser la question.. le truc c'est que les devoirs à renvoyer et les corrections je ne sais pas si ça se fait en les scannant et tout par mail (auquel cas c'est l'adresse mail de mon neveu qui va être utilisée je suppose..) ou alors tout par courrier postal? je préfèrerais que le changement soit fait officiellement...
Gwenaelle - Mer Oct 28, 2015 6:09 pm
Sujet du message:
Ma fille a rendu ses deux premiers devoirs par courrier aujourd'hui..mais ce n'est pas le CNED.
steph7 - Mer Oct 28, 2015 6:27 pm
Sujet du message:
Bon je les ai eus ... impossible de transférer de l'un à l'autre... mais si ma fille fait le travail au lieu de son cousin ils ne veulent pas être au courant... sifflote innocemment
laurence - Mer Oct 28, 2015 6:32 pm
Sujet du message:
Bah oui je ne me serais pas posé toutes ces questions honte
steph7 - Mer Oct 28, 2015 7:26 pm
Sujet du message:
Oui ça je m'en doute Laurence clin d'oeil mais chez moi c'est maladif honte

Bon après épluchage du site il s'avère que mon neveu était inscrit pour les cours de maths/anglais.histoire et accompagnement réussite (pour l'oral et la lettre de motivation, spécifique au concours de Paris) mais pas Littérature et philo... bon si elle fait histoire et anglais ça sera déjà ça...
Gwenaelle - Mer Oct 28, 2015 9:12 pm
Sujet du message:
I n'y a pas de maths au concours, me semble t il.. Et par contre une question contemporaine " École et démocratie" cette année..c'est même le gros truc, avec une 30 aine de bouquins à lire..mais ça c'est pour les iep de province.Ta fille souhaite peut-être ne tenter "que" Paris?
Camille va passer le concours commun des iep de province, celui de bordeaux et paris, mais pas Grenoble à priori.
steph7 - Mer Oct 28, 2015 11:22 pm
Sujet du message:
Gwenaelle a écrit:
I n'y a pas de maths au concours, me semble t il.. Et par contre une question contemporaine " École et démocratie" cette année..c'est même le gros truc, avec une 30 aine de bouquins à lire..mais ça c'est pour les iep de province.Ta fille souhaite peut-être ne tenter "que" Paris?
Camille va passer le concours commun des iep de province, celui de bordeaux et paris, mais pas Grenoble à priori.


Si , pour les épreuves d'admissibilité de Paris (20/21 février 2016) il y a Histoire + une épreuve à option au choix: littérature et philo ou maths ou Sciences éco et sociales + LVE. et en plus ensuite oral et lettre de motivation si tu as les écrits.

Pour le concours commun aux 7 IEP (celui que veut tenter T. elle ne veut pas aller à Paris) il y a Question contemporaine (2 sujet au choix: école ou démocratie) + Histoire (dissert sur le monde/l'Europe/la France de 45 à nos jours) + LVE.

Je vais voir si je peux l'inscrire officiellement que pour 1 cours (litté et philo) en plus...
Gwenaelle - Jeu Oct 29, 2015 9:12 am
Sujet du message:
Pour le concours commun aux iep de province, je connais bien les épreuves du concours clin d'oeil
Ce n'est pas"école ou démocratie" mais ET.
Pourquoi tu veux prendre "littérature et philo", si elle ne souhaite pas passer celui de paris?
T. Passerait celui de Bordeaux?
Je n'ai pas regardé les épreuves pour celui-ci.
steph7 - Jeu Oct 29, 2015 9:44 am
Sujet du message:
http://www.sciencespo-concourscommuns.fr/nature-des-epreuves

Moi je découvre tout ça mais je lis "un sujet à choisir parmi deux, thèmes 2016 l'école ET/OU la démocratie ... j'en sais rien

Non elle ne veut pas aller à Paris. Il lui manque le module "questions contemporaines" pour la presse du cned. Ça m'embête de dépenser 500€ pour tremplin pour avoir juste un module de plus quoi...

Elle a regardé Bordeaux aussi, ça la tente bien.
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