Ben disons que quand tu as vu un type agité, tu comprends qu'il faille une poigne de mec pour essayer d'en venir à bout
Quand il faut être à cinq sur un homme pour le maîtriser et lui faire une injection à la va-vite, si tu es épaisse comme un coucou, tu valses vite.
Mine de rien, un homme impressionne même si ce n'est pas un malabar.
Maintenant, je ne sais pas pourquoi plus d'hommes veuillent aller travailler en psychiatrie
J'ajoute en terme de relations justement, que les relations malades/infirmiers ne sont pas du tout les mêmes qu'ailleurs. Il y a plus une attitude de "séduction" ou de "manipulation" de la part des malades pour tromper ou berner ou obtenir quelque chose qu'ailleurs (une permission cigarette, une carafe d'eau etc)
tulipe - Dim Nov 09, 2014 12:25 pm
Sujet du message:
, des criminels juges psy bref mon pire cauchemar.
..on cherche des qualités spécifiques à ce métier, comme l'écoute,le relationnel,l' humilité,la réactivité..
on ne sait même pas encore quelle école il aura sur Paris (en fait on ne sait même plus celles qu'il a mis en premier, on a rempli le dossier à la montagne, on n'avait aucune idée de quelle école classer, on a fait pouf pouf 
)
tout ce que je lis, c'est que c'est dur comme études, émotionnellement, forcément, mais qu'en plus les stagiaires sont traités comme de la m. (pourquoi, mystère ?), qu'il faut prendre énormément sur soi etc...
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